Sprat in the rock...

Les Tartack

Voila, toute cette page est consacrée aux Tartack, le peuple le plus puissant et le plus méconnu ayant existé. Ce document est tiré d'un ouvrage scientifique/antrophologique. Je peux vous assurer que toutes les données sont correctes. Je n'ai pas tout terminé, j'en ajouterai quand j'en aurai l'occasion!!

.......................................................................................................................................

 

Tartac ou Tartack

Homo Sapiens Yatanôyensis

De Tartack ou Tal-tâcka: fous de l’enfer

Origine et classification

Le Tartac, un peu comme le Pygmée, est une race qui a évolué différemment des populations continentales. Cette convergence étant liée aux biotopes naturels : climat sec et rude, géographie boisée et montagneuse, aux reliefs torturés. Peuplade de Yatanô, au large du Maroc, cette île n’est présente que sur les rares cartes zoologiques. D’une longueur de 17,5 kilomètres et d’une largeur de 5 kilomètres, elle est restée inconnue jusqu’en 1939 dû à la nature agressive et xénophobe des Tartac.

Données biologiques et physiologiques

Toutes ces données sont des moyennes approximatives.

Taille : 190 - 210 centimètres

Poids : 90 – 140 kilogrammes

Yeux marron foncés à noirs, nez large non épaté, yeux percents (de types nocturnes) front large et dégagé, cheveux bruns foncés à noirs, peau mate s’assombrissant avec l’age, système pileux peu développé sur le torse contrairement aux jambes qui sont trapues et courtes donnant un aspect de gigantisme. Leurs ennemis (très peu nombreux) pensaient qu’ils étaient des démons (d’où le nom vernaculaire)  : des vestiges de cornes dorsales étaient présent sur leurs omoplates. Ces protubérances saillantes donnaient une impressions de « petites cornes » dans le dos. Physique musculeux et développé ; il n’est pas rare de les voir dépasser 195 cm. Ossature fine et légère mais non dénuée d’inconvénients : la platybasie.

La platybasie est une ouverture crânienne de l’angle basal formé par le planum et le plan du clivus. Cet angle est normalement de 130 à 140° chez le nouveau-né, 125° vers 5 à 6 ans, 115° chez l’adolescent et l’adulte. La platybasie (base aplatie) est observée dans la maladie de Paget évoluée et dans certaines maladies osseuses constitutionnelles. Cette variante des maladies osseuses Tartac saute souvent plusieurs génération pour ressortir sur trois d'affilé. Les nerfs cérébraux subissent une pression relativement élevée et, du coup, abîment et rendent insensibleles censeurs frontaux. ( Professeur U. Salvolini )

 L’Anthropologiste  C. P. Kottak décrit cette race comme une évolution distincte d’Homo Sapiens Sapiens due aux glissements de terrains il y a environ deux millions d’années. L’île Yanatô c’est alors décroché du continent africain avec les quelques dizaines d’homo abilis pris à la dérive. Malheureusement aucun scientifique n’a put vivre parmis les cultures tribales d’origines ou même les approcher. Plusieurs spécialistes sont parti en expedition sur Yatanô mais il y a de forte chances pour que leur reste ne soient que quelques crânes et os acrochés sur des piquets ou sur l'armure d'un chasseur ou d'un guerrier Tartac.

 

Moeurs

Nous savons très peu de choses sur eux.

Ce peuple, que nous qualifierons de tribu hiérarchique, est divisé en sept familles distinctes, chacune ayant son propre rôle sur l’île pour la survie de l’espèce. Les Mocco, les Sectâ, les Nakounê, les Bouchakouâ, les Sannäpenos, les Bounnarp et les Koupoumouâ sont les sept familles de base. Respectivement : les nomades, les créateurs de feu, les voyageurs (qui attaquaient les autres peuples), les chasseurs (qui apportaient la nourriture et l’eau) les sages et enfin les constructeurs (qui recherchaient des grottes habitables). Tout les noms on un sens bien particuliers, exprimant ainsi le rôle de la famille au sein de la tribu ; sans parler proprement de métiers (le commerce n’existant pas) seul le troc et surtout le pillage était de coutume.

Inconditionnels et créateurs de l ‘expression : « noca tä noca, maône tä maône » -œil pour œil, dents pour dents-, ils étaient considérés par les Arabes, les Romains les Visigoth, les Vikings et même les Huns comme des mercenaires venus de l’enfer, d’où leurs noms. Juste avant ça défaite, Vercingétorix avait déclaré : « Nous allons échouer contre les troupes Romaines… Que les Dieux nous viennent en aide, nous ne sommes pas des Tartack. »

 

Histoire vraie

La nature irascible des Tartac les a menés à de nombreuses victoires , aussi improbables soit elles…

L’histoire se passe en 453. Yamock fils de Hêm-Taryck de la ligné des Bounnarp (considéré comme la ligné la plus placide et non agressive), 48 ans, respectable père de famille, revenait de la chasse accompagné de son fils. Attila, chef des Huns qui venait de célébrer son arrivée au Maroc et son 128 ème mariage sur l’île Yatanô le vit, tirant un Cyncerus mort ( espèce de buffle insulaire d’environ 700 kilogrammes ) par les cornes qu’il ramenait au village. Etonné, Attila engagea une conversation avec Yamock. Après quelque propos et discussions il fut surpris d’apprendre qu’il avait un Tartac en chair et en os devant lui, Attila voulus alors tester l’aptitude au combat si légendaire des Tartac.

Les hommes du chef des Huns retrouvèrent , le lendemain matin, le corps inerte d’Attila, les cervicales fracturées. La mort fût survenue par arrêt d’afflux sanguin dans le lobe frontale droit. Il semblerait, selon les textes de l’époques, que son larynx avait été écrasé de l’intérieur !

Seul les Tartacs avaient la capacité ( et l'habitude ) de donner la mort à leurs enemis de manière aussi violente. Il semblerait qu’ils définissaient la combativité comme un devoir. C’était probablement la raison pour laquelle ce noble peuple ne fût jamais exterminé. De nos jours, les Tartacs sont toujours aussi secrets sur leur tribus et leur art du combats violent.

... à suivre....